Étymologie :
CAPUCIN, INE, subst.
Étymol. et Hist. 1542 capussin « religieux d'une branche de l'ordre franciscain » (Rabelais, Tiers Livre, chap. 22, éd. Marty-Laveaux, t. 2, p. 109) ; 1580-92 capuchin (Montaigne, I, 36 ds Hug.), graphie attestée au xvie s. (Hug.) ; 1611 capucin (Cotgr.) ; 1585 emploi adj. « de capucin » (Pasquier, Lettres, XIII, 1 ds Hug.), rare ; 1622 capucine « religieuse de la même branche » (Caquets de l'accouchée, éd. Marpon et Flammarion, 1922, 5ejournée, p. 179). Empr. à l'ital. cappuccino « capucin », attesté ds Batt. dep. le xvie s. proprement « qui porte un capuchon » (en raison de la coule à capuchon particulièrement voyant portée par ces religieux), dér. de capuccio, v. capuchon. Les Capucins constituent une congrégation de l'Ordre des Frères mineurs érigée par bulle du 3 juillet 1528 à la demande de Louis et Raphaël de Fonsombrone, observants de la province de la Marche ; l'autorisation d'établissement au delà des Monts fut accordée en mai 1574 (Théol. Cath., p. VI, 1re part., col. 821-822); la forme capucin qui l'emporte sur capuchin est peut-être due à une prononc. dialectale.
Étymol. et Hist. 1. 1694 bot. (Tournefort Bot. t. 1, p. 341) ; d'où 2. 1798 adj. inv. « rouge-orangé, de la couleur de la fleur de capucine » (Ac.) ; 3. p. anal. 1829 arm. (Boiste : Capucine [...] pièce de fusil). Dér. de capuce* p. métaph. ; suff. -ine*.
Lire aussi la définition pour amorcer la réflexion symbolique.
Autres noms : Tropaeolum majus - Cresson d'Inde - Cresson du Mexique - Cresson du Pérou - Fleur d'amour - Grande capucine -
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Botanique :
Marius Chadefaud, auteur de l'article intitulé "Sur la formule florale de la Capucine (Tropaeolum majus L.), (Bulletin de la Société Botanique de France, 121 : 9, 1974, pp. 347-357) propose une étude technique de la fleur de Capucine dont voici le résumé :
Analyse de la fleur du Tropaeolum majus, basée sur les notions suivantes :
— 1. Elle est formée de cycles élémentaires dimères, régulièrement décussés, dont certains sont tétramérisés, tandis que d'autres demeurent virtuels.
— 2. Ces cycles ont chacun une orientation, et ils sont disposés en ordre hélicoïdal.
— 3. Ils sont groupés en systèmes (= tagmes) tricycliques, eux-mêmes groupés en ditagmes. Formule fondamentale de ceux-ci (4 + 2 + 2 pièces + 2 + 2 +4) et leur évolution, qui comporte la possibilité d'un stade à périanthe hexamère, à 14 étamines et à 8 ou 10 carpelles. Position systématique des Tropacolacées parmi les Capparidales plutôt que parmi les Géraniales.
Dans La Vie érotique de mon potager (Éditions Terre Vivante, 2019), Xavier Mathias nous donne quelques précisions supplémentaires sur la Capucine :
Persuadé qu'il était d'avoir abordé aux Indes quand il ramena d'Amérique cette plante étrange et délicieuse à la saveur poivrée évoquant le cresson, c'est logiquement qu'on appelât « grand cresson d'Inde » ce qui plus tard fut nommé « capucine » pour la ressemblance du calice de la fleur avec les capuches des moines capucins. A propos de moines, gageons d'ailleurs que, dans bien des monastères, cette saveur chaude aurait probablement été interdite ou pour le moins sévèrement contrôlée. Il est vrai que les composés soufrés de la capucine annuelle ne font aucun doute et expliquent qu'elle soit incontestablement classée parmi les plantes aphrodisiaques, que l'on consomme ses jeunes feuilles en salade (parties de la plante les plus riches en soufre), ses fleurs ou même ses boutons, absolument délicieux préparés comme des câpres.
Cette description, présentant notre capucine comme une plante chaude, correspond néanmoins aux capucines annuelles (Tropaeolum annuum). il en va tout autrement avec les non moins délicieuses capucines tubéreuses (Tropaeolum tuberosum), originaires elles aussi d'Amérique du Sud. Leur culture fut développée dans la deuxième moitié du XXe siècle pour venir en aide aux pommes de terre qui commençaient à connaître bien des déboires avec le mildiou.
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Vertus médicinales :
Marie d'Hennezel, autrice de Les Plantes pour tout guérir et booster sa santé (Éditions Rustica, 2015) nous offre des recettes concrètes :
ORIGINE : Originaire d’Amérique du Sud, la capucine fut acclimatée dans nos contrées au XVIIe siècle, à Cologne dans un premier temps, sous le nom de « cresson des Indes ». Employée comme condiment, elle décorait les salades. Elle est cultivée partout dans le monde comme plante ornementale.
Un peu d’histoire : Rapportée au XVIe siècle par les conquistadors de Pizarre, la capucine porta le nom de « fleur sanguine du Pérou ». Son nom savant vient du grec tropaion, qui signifie « trophée », car la fleur et la feuille rappellent le casque et le bouclier composant les trophées dont on décore les monuments.
Son nom français vient de ce que l’éperon de sa fleur évoque la forme d’un capuchon.
Dans les Andes, la capucine était utilisée comme désinfectant, cicatrisant et expectorant.
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Utilisations : De la capucine on utilise les fleurs, les feuilles et les graines.
Les fleurs se consomment en tisane ou en salade, et s’utilisent en lotion capillaire, seules où associées à d’autres.
Antibiotiques naturels, ce qui a le mérite de ne pas détruire la flore intestinale, préparées en infusion, les fleurs et les feuilles accroissent la résistance aux infections bactériennes, soignent les bronchites, l’emphysème, les infections de la vessie et les inflammations des ganglions lymphatiques du cou. On les recommande aussi aux personnes âgées et aux convalescents pour les revigorer. On leur prête même des vertus aphrodisiaques.
Macérées dans l’alcool à 90° pendant 2 semaines, fleurs, feuilles et graines servent de lotion capillaire stimulante du cuir chevelu.
Préparation : Fleurs et feuilles séchées se préparent en infusion en raison de la fragilité des premières. Jetez 3 pincées du mélange de fleurs et feuilles dans 1 litre d’eau bouillante, laissez frémir pendant 6 minutes. Filtrez dans un thermos et buvez cette tisane tout au long de la journée.
Son odeur est épicée et son goût fin ressemble à une épice d’Inde. Elle laisse une sensation piquante et fraîche qui reste longtemps en bouche.
Une recette simple : Pour lutter contre les pellicules, préparez une lotion capillaire. Faites macérer 2 poignées d’un mélange de fleurs, feuilles et graines hachées dans 1 litre d’alcool à 90° bio. Filtrez soigneusement. Frictionnez-vous le cuir chevelu avec cette lotion pendant 3 semaines, tous les jours.
Toxicité et précaution d’emploi : Aucune toxicité connue à ce jour.
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Usages traditionnels :
Xavier Mathias, auteur de La Vie érotique de mon potager (Éditions Terre Vivante, 2019), rapporte les usages suivants :
Or, si nous attribuons à nos sulfureuses capucines annuelles naines ou grimpantes des vertus aphrodisiaques, les Incas distribuaient aux soldats ces tubercules, appelés mashuas, pour des raison exactement opposées. Des tubercules réputés tellement anaphrodisiaques que ces hommes de guerre en auraient oublié leurs femmes et le désir qui va avec !
Méfions-nous de ce qui pourrait apparaître comme une superstition. Songeons au houblon. Bien avant qu'on découvre les effets du lupulin, les paysans et ouvriers qui le manipulaient en grande quantité avaient bien observé ses effets délétères. Jusqu'à maintenant, peu de chercheurs se sont penchés sur la capucine tubéreuse. Néanmoins, une étude menée à l'université de Lima en 2012, sur une population de rats soumis à un régime important d'extraits de mashua pendant douze jours, montre une nette diminution de la quantité et de la qualité des spermatozoïdes. Si, de la même manière qu'une hirondelle ne fait pas le printemps, un spermatozoïde ne fait pas la libido, il est des risques qu'il vaut mieux connaître avant de courir, particulièrement avec un tubercule aussi délicieux que celui de la capucine tubéreuse.
Chaudes ou froides, les plantes influent sur notre santé et nos comportements. Pour les médecins de l'Antiquité, aux quatre éléments (air, eau, feu, terre) correspondent le sec, l'humide, le chaud et le froid que l'on retrouve dans notre corps sous forme d'humeurs : le sang (humeur chaude et humide), la lymphe (humeur froide et humide), la bile noire (humeur froide et sèche et la bile jaune (humeur froide et sèche). Toute maladie est liée à un déséquilibre de ces quatre humeurs qu'il s'agit de rétablir avec des végétaux ou des minéraux, classés et échelonnés en fonction de leurs propriétés. Un excès de bile noire, froide et sèche, devait par exemple être compensé par des aliments issus de la catégorie sanguine : chauds et humides. Prudence néanmoins avec les plantes chaudes, dont l'usage est déconseillé, voire prohibé aux membres du clergé, particulièrement dans les couvents et monastères où les interdits fleurissaient eux aussi.
N'allons pas sourire trop vite de cette théorie des humeurs, nous qui parlons encore de « tempérament sanguin ou bilieux », évoquons les « chauds lapins » ou disons de quelqu'un de distant qu'il est « froid », quand ce n'est pas d'une femme qu'elle est « frigide », etc. Cette vision de la médecine basée sur les humeurs fut progressivement abandonnée au profit de la Théorie des signatures aux environs du XIème siècle, mais nous en sommes-nous vraiment éloignés ? De quelle humeur cette question vous met-elle ? Bonne ou mauvaise ? Rassurez-vous : quelle que soit la réponse, il y a quelques simples qui pourront aider à rétablir l'équilibre.
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Symbolisme :
Selon Pierre Zaccone, auteur de Nouveau langage des fleurs avec la nomenclature des sentiments dont chaque fleur est le symbole et leur emploi pour l'expression des pensées (Éditeur L. Hachette, 1856) :
CAPUCINE. - FLAMME D'AMOUR.
La capucine est le cresson du Pérou. Le prolongement qui la termine en forme de capuchon lui a valu son nom. Cette plante a les mêmes propriétés que le cresson. On assure que, les jours brûlants de l'été, la grande capucine dégage des étincelles électriques .
Emma Faucon, dans Le Langage des fleurs (Théodore Lefèvre Éditeur, 1860) s'inspire de ses prédécesseurs pour proposer le symbolisme des plantes qu'elle étudie :
Capucine - Feu d'amour.
C'est à l'Amérique méridionale que nous devons cette charmante fleur. L'espèce souci-ponceau nous a été apportée du Pérou en 1684. Le premier bouquet de la capucine péruvienne fut offert à madame de Maintenon par Louis XIV. Cette fleur laisse échapper spontanément des éclairs ou jets lumineux au moment des grandes chaleurs et surtout au commencement des soirées d'orage.
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Sheila Pickles, auteure de Le Langage des fleurs du temps jadis (Édition originale, 1990 ; traduction française : (Éditions Solar, 1992) présente la Capucine par le biais d'un poème d'Apollinaire dont elle ne cite que les deux première strophes mais que nous rapportons ici l'entièreté :
Mot clef : Indifférence
Vous dont je ne sais pas le nom ô ma voisine Mince comme une abeille ô fée apparaissant Parfois à la fenêtre et quelquefois glissant Serpentine onduleuse à damner ô voisine Et pourtant sœur des fleurs ô grappe de glycine
En robe verte vous rappelez Mélusine Et vous marchez à Petits Pas comme dansant Et quand vous êtes en robe bleu-pâlissant Vous semblez Notre-Dame des fleurs ô voisine Madone dont la bouche est une capucine
Sinueuse comme une chaîne de monts bleus Et lointains délicate et longue comme un ange Fille d'enchantements mirage fabuleux Une fée autrefois s'appelait Mélusine Ô songe de mensonge avril miraculeux
Tremblante et sautillante ô vous l'oiselle étrange Vos cheveux feuilles mortes après la vendange Madone d'automne et des printemps fabuleux Une fée autrefois s'appelait Mélusine Êtes-vous Mélusine ô fée ô ma voisine
Guillaume Apollinaire, "Poème à Yvonne", Œuvres poétiques, 1903.
La Capucine a un lointain rapport avec les moines franciscains, les capucins, en cela que sa fleur est terminée par un éperon en forme de capuce, ou capuchon en pointe. Cette plante, originaire du Pérou, est apparue en France au XVIe siècle, mais à la cour, il fallut attendre le XVIIe siècle pour que Louis XIV offre les premières fleurs à Mme de Maintenon. En Angleterre, les qualités gastronomiques de la plante furent très appréciées, feuilles et fleurs s'y dégustant en salade. La Capucine symbolise aussi le patriotisme et, parfois, la flamme d'amour.
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Selon Des Mots et des fleurs, Secrets du langage des fleurs de Zeineb Bauer (Éditions Flammarion, 2000) :
"Mot-clef : L'indifférence.
Savez-vous ? : Cette jolie fleur serait arrivée en Europe vers les années 1650 ; c'est semble-t-il le Roi Soleil qui, le premier, offrit un bouquet de ces fleurs à sa maîtresse, Madame de Maintenon. Malgré sa couleur jaune orangé et son aspect joyeux, la capucine portait jadis un message négatif : vous êtes d'un abord difficile car rien ne vous plaît, rien ne vous charme ! Depuis justice à été heureusement rendue à la beauté et à la gaieté& de la capucine.
Usages : Elle fut surtout appréciée pour ces qualités gastronomiques et médicinales. Les pétales et les feuilles se dégustaient en salade et les boutons de fleurs étaient confits dans du vinaigre.
Message : Mon cœur est si loin de vous."
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D'après Nicole Parrot, auteure de Le Langage des fleurs (Éditions Flammarion, 2000) :
"La capucine n'est pas ce que l'on croit. Cette petite fleur de nos jardins, en apparence sans historie, cache un amour brûlant. Celle ou celui à qui on l'offre, en bouquet, reçoit la plus torride des déclarations d'amour. Paradoxalement, la fleur orange parle aussi d'indifférence. Ou peut-être la reproche-t-elle. En effet, elle dit à la fois : "je meurs d'amour pour vous", et lorsqu'elle est jaune ou orange : "rien en charme de votre cœur". Marron, elle se désole : "votre cœur reste fermé" Enfin, pourpre, elle jette : "vous ne pouvez plus aimer".
Tout cela ne l'empêche pas d'être aussi considérée comme porte chance. Louis XIV accompagne ses souhaits de bonheur à Madame de Maintenon par cette nouvelle venue dans les serres de Versailles. Qui bientôt arrive dans les jardins de campagne. Au temps où le blé se fauche à la main, les femmes du village qui apportent leur déjeuner aux moissonneurs ajoutent aux plats des capucines fraîchement cueillies afin de porter chance aux moissons. Comment s'y retrouver dans tous ces messages ?
On peut imaginer que la personne qui offre des capucines, en proie à la passion, s'interroge sur les sentiments de l'aimé(e), si insaisissable que c'en est agaçant. D'où le "vous ne pouvez plus aimer", l'un des messages les plus cruels du langage des fleurs. Pas d'affolement, il ne s'agit que des paroles d'un soupirant dépité, rien de vraiment sérieux. On peut continuer à danser la capucine, même s'il n'y a plus de pain chez nous.
Mot-clef : "Elle n'est pas ce que l'on croit"
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Doreen Virtue et Robert Reeves proposent dans leur ouvrage intitulé Thérapie par les fleurs (Hay / House / Inc., 2013 ; Éditions Exergue, 2014) une approche résolument spirituelle de la Capucine :
Nom botanique : Tropaeolum majus.
Propriétés énergétiques : Fortifie l'aura, protège, équilibre vos finances, attire l'abondance et calme les émotions.
Archanges correspondants : Métatron et Sandalphon.
Chakras correspondants : chakra sacré ; chakra du plexus solaire.
Propriétés curatives : La capucine instaure l'équilibre dans plusieurs domaines de votre vie. Elle influence votre champ énergétique en augmentant les capacités protectrices de votre aura. Elle contribue à l'équilibre de votre situation financière en vous familiarisant davantage avec l'idée de donner et de recevoir sur un plan spirituel. (Vous devez être ouvert à l'idée de recevoir et non pas seulement de donner, ceci dans tous les domaines de votre vie). La capucine allège et adoucit tout - ce qui calme vos humeurs et vos émotions. Grâce à elle, vous pourrez profiter pleinement de chaque journée.
Message de la Capucine : « Je contribuerai à adoucir les énergies qui vous entourent et à augmenter la taille et la force de votre aura pour vous protéger des mauvaises énergies. Vous vous sentirez en sécurité tandis que je rétablirai l'équilibre dans tous les domaines de votre vie, notamment dans vos émotions et votre entourage. Soyez prêt à vous libérer des éventuelles énergies qui ralentissent votre cheminement vers l'abondance. Oubliez les considérations matérielles et vos préoccupations, plus particulièrement celles qui concernent vos finances. Tout est pris en charge. Vos prières ont été entendues par Dieu et par les anges, et ils vous aident à révéler le meilleur de vous-même. »
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Comptines :
Dansons la capucine
Dansons la capucine Y' a pas de pain chez nous Y' en a chez la voisine Mais ce n'est pas pour nous You ! les petits cailloux !
Dansons la capucine Y' a pas de vin chez nous Y' en a chez la voisine Mais ce n'est pas pour nous You ! les petits cailloux !
Dansons la capucine Y' a pas de feu chez nous Y' en a chez la voisine Mais ce n'est pas pour nous You ! les petits cailloux !
Dansons la capucine Y' a du plaisir chez nous On pleur' chez la voisine On rit toujours chez nous You ! les petits cailloux !
NB : La ronde s’accroupit sur « you ! Les petits cailloux » et repart pour le couplet suivant.
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Littérature :
La Capucine
Un pied par-ci, un pied par-là,
Voici venir la capucine.
Un pied par-ci, un pied par-là,
Voici fleurir la capucine.
Capucine par-ci,
Capucine par-là,
Par-ci par-là.
Robert Desnos, "La Capucine" in Chantefables et Chantefleurs, 1952.
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