Étymologie :
Étymol. et Hist. 1755 (Encyclop. t. 5, s.v. ellipse). Empr. au lat. lemniscata, fém. de l'adj. lemniscatus « orné de lemnisques (lat. lemniscus, du gr. λ η μ ν ι ́ σ κ ο ς désignant des rubans attachés aux couronnes, aux palmes des vainqueurs et des suppliants, ou ornant la tête des convives dans un festin) », lemnisque a été empr. au xvie s., cf. Gdf. Compl. et DG).
Lire également la définition du nom lemniscate afin d'amorcer la réflexion symbolique.
Selon Michel Ades, David Guillemette et Serge B. Provost, auteurs d'un article intitulé "Une initiation au concept de l'infini." (arXiv preprint arXiv : 2403.12067, 2024)
Sur le plan étymologique, le mot infini est d’origine latine « infinitus » qui signifie sans limites. Le symbole de l’infini représenté par «∞» a été introduit pour la première fois en 1655 par le mathématicien anglais John Wallis (1616-1703) dans son ouvrage « De sectionibus conicis » : Mathématiques sur les sections coniques. Notons que ce symbole a été popularisé vers 1713, grâce à Jacques Bernoulli qui est l’inventeur, entre autres, de la fameuse lemniscate qui signifie ruban.
*
*
Symbolisme :
Lon, autrice d'un jeu de cartes intitulé Géométrie sacrée, cartes d'activation - Découvrez le langage de l'âme (Beyond Words, 2016 ; Éditions Vega 2018, 2021 pour la traduction française) propose des cartes d'activation énergétique conçues selon les principes de la géométrie sacrée :
La fréquence de l'âme nous autorise l'émergence d'une nouvelle réalité embrassant le concept d'une âme intemporelle, illimitée et infinie au sein d'un corps physique mortel.
Appartenant à un monde basé sur la dualité, le concept du temps a été défini au fil de l'histoire de l'humanité sur un plan linéaire (avec un passé, un présent et un futur). Nous regardons d'où nous venons, appliquons les leçons que nous avons apprises au présent et progressons avec les attentes nées du passé. Le temps linéaire, intelligible, a rendu notre futur prévisible. L'histoire humaine se raconte depuis le point de vue de notre naissance dans un monde que nous quittons lors de notre mort physique. une histoire simple...
Maintenant que nous sommes entrés dans la conscience d'une histoire plus vaste que la seule vie sur Terre et une réalité définie, tridimensionnelle, nous commençons progressivement à comprendre que le temps tel que nous le connaissons ne peut plus s'appliquer. En plus de nous rendre dans le passé et le futur, nous découvrons des espaces lointains et intermédiaires - infinis et non linéaires. Nous avons atteint l'âme.
Cela signifie que nous pouvons avoir accès à toutes ses expériences - passées, présentes et futures - lorsque nous le décidons. Pour démontrer cette évolution du temps linéaire, l'activation de l'âme a été créée à partir de la répétition du symbole de l'infini. Le pourpre fait référence à notre connexion aux royaumes supérieurs et à la Source - un lien qui doit être solidement établi si nous voulons appréhender le temps en dehors de la réalité tridimensionnelle. Le jaune indique notre force intérieure et la façon dont nous nous manifestons ici sur Terre. Les hexagones de l'image font référence au monde physique, linéaire et tridimensionnel, à notre expérience de la réalité et du temps.
Exercice : Fermez les yeux et pendant un instant, contemplez l'infinité de votre âme. Quel est son programme ? Quelles situations et expériences avez-vous créées pour évoluer vers la plus haute expression de vous-même ? Incluez-vous les messages qui vous parviennent à travers vos rêves et votre intuition ?
Tenez un journal de vos rêves pour surtout ne rien perdre !
Simon Buxton, auteur de L'Abeille initiée : Pour le chaman d'aujourd'hui (Éditions Ariane, 2017) évoque la lemniscate :
Du temps passa, puis la Voix reprit à nouveau sa leçon.
« La Maîtresse apicultrice sait que le glyphe secret de cette tradition est le lemniscate, appelé également lemniscus inifnitorum. Ayant une forme de huit couché sur le côté, de nœud ou de ruban noué, on l'appelle communément le symbole de l'infini. Mais ce n'est pas qu'un symbole, Initié. C'est aussi l'expression pratique, la signature et le chemin vivant de l'infini, rendus manifestes par les milliards d'abeilles. C'est la danse de l'abeille, et nous les accompagnons dans leur danse, comme si nous saisissions la queue d'une comète qui nous entraînerait hors du cercle du temps où tout ce qui arrivera et tout ce qui est déjà arrivé se produit simultanément. Nous, qui suivons la Voie du pollen, sommes intéressés par l'infini et admirons els pouvoirs d'abstraction qui permirent à nos prédécesseurs de penser ce qui était pratiquement impensable, ce qui se produit inévitablement lorsque l'on accepte d'affronter l'infini. Mais nous ne sommes pas préoccupés par les mêmes questions qui intéressent les philosophes, soit les problèmes et les controverses entourant l'infini, ainsi que l'incertitude entourant l'existence des nombres infinis en mathématiques. Ce symbole nous indique le moyen d'exister éternellement et le chemin permettant d'entrer dans cet état et d'en sortir. Te souviens-tu d'Hamlet qui se regardait « comme le roi d'un espace infini » ? Ce à quoi il faisait allusion n'était rien de plus compliqué qu'une simple question de dimension -d'espace physique - ce qui est de peu d'importance pour ceux qui peuvent circuler entre les mondes. Nous avons affaire à différentes dimensions de l'infini, à une multiplicité d'infinis, qui exercent sur nous une fascination sans fin - et le lemniscate est notre carte cognitive des royaumes qui nous sont révélés.
Pour débuter ton travail avec le lemniscate, prends en considération le fait qu'il est composé d'un cercle tourant dans le sens des aiguilles d'une montre et d'un second cercle tournant en sens inverse, d'une face solaire et d'une face lunaire. Autrement dit, il comporte à la fois un sentier de la main droite et un sentier de la main gauche. Ce fait est révélateur quant à la nature de la Voie du pollen : nous traversons les deus sentiers. C'est également le symbole des jumeaux, le sombre et le brillant, et aussi de la communion fertile qui existe entre eux. Il dénote l'union sexuelle entre le mâle et la femelle, les deux devenant un. Il indique en outre le chemin que l'énergie interne peut être amenée à suivre dans le corps afin de provoquer le vol de l'abeille, la danse du serpent, et chez les femmes, l'écoulement des nectars entrelacés avec une autre personne ou un objet - une étoile ou une planète, par exemple. C'est le circuit de la force. C'est aussi le symbole de l'union de deux cultures - celle des humains et celle des abeilles - et la relation symbiotique qui peut exister entre les deux. Note qu'aucun de ces cercles ne se trouve au-dessus de l'autre, et qu'ainsi il y a une égalité implicite dans leurs rapports, ce qui mène à une connaissance intime de l'infini. C'est la voie que nos utilisons pour recevoir la sagesse de la ruche et c'est grâce à elle que nous implantons notre savoir dans cette dernière, les demandes et les dires des abeilles indiquant l'influx et l'émanation de la sagesse qui à la fois pénètre en elle et en émane en un flux constant de sagesse. C'est le pilier central sur lequel nous montons et descendons pour accéder aux autres mondes. C'est la danse à laquelle participent ceux qui sont sur la Voie du pollen, lorsque des homes et des femmes se rassemblent pour travailler ensemble. »
Tandis qu'elle parlait de cette danse, je me rappelait qu'alors même que je n'étais qu'un jeune enfant, il m'arrivait de tracer distraitement le symbole de l'infini en marchant en huit sur les trottoirs et dans la cour de récréation. A présent, la Maîtresse apicultrice m'expliquait que cela représentait un moyen d'explorer les royaumes invisibles.
« C'est également de cette manière que la vie est arrivée ici ; c'est ainsi que la multiplicité des formes de vie est apparue sur notre Terre. Cette forme préfigure l'étoile à six rayons, le caducée dans la main de Mercure, la chaîne d'or d'Homère, le serpent lové sur lui-même se mordant la queue et rappelant la roue du Tao, l'Ouroboros sans début ni fin, la vesica piscis, l'Arbre de vie, les proportions harmoniques de la femme et de l'homme, et les énergies du serpent de la Kundalini pouvant s'élever en eux. »
Il y eut un silence, suivi par ce qui semblait être le bruit qu'elle faisait en traçant ce symbole d'infini sur chacune des six faces de l'hexagone. Je sentis simultanément que ces mêmes symboles étaient tatoués ou gravés sur ma peau et qu'ensuite ils pénétraient dans mon corps tel un feu souterrain, les six lemniscates convergeant dans ma colonne vertébrale, tournoyant, s'élevant et retombant comme des serpents en coït. Une flamme d'extase monta et culmina en une atroce tension, et je me sentis comme une cire mûre extraite des rayons de miel. je me liquéfiai sous le regard brulant de l'infini et, dans cette fusion, je me fondis avec l'hexagone que j'incarnais totalement.
*
*
Odette Barbero, dans "De l’usage des nœuds. (in : Sens-Dessous, 2019, no 1, pp. 79-90) inscrit le symbolisme de la lemniscate dans le temps :
Le tissage est aussi une image du temps et de son dénouement. Les Moires ou Parques dont le fuseau meut le ciel qui pour chaque mortel accordent une mesure de vie dont elles règlent la durée: la première Lachésis en filant, la seconde Clothô en enroulant le fil, la troisième Atropos en le coupant. Mais cette dernière fait-elle un nœud ? En a-t-elle besoin ? Non, peut-être, si l’âme continue sa transmigration orphique, prend place dans une hiérarchie des réincarnations exposée dans le Phèdre et objet du mythe d’Er le Pamphylien ou si, selon Leibniz, en vertu, d’une part, du calcul différentiel et des principes de la physique et d’autre part, du principe de continuité et des indiscernables, l’homme ne meurt jamais totalement: il y a une période infinitésimale avant la naissance et après la mort qui n’est qu’une modification: un jour l’âme peut-être reviendra sur le théâtre du monde car « il n’y a rien […] de mort dans l’univers. ». Un nœud, s’il arrête, constitue-t-il un terme venu d’ailleurs ou finit-il une course en sa propre évolution? Le mot lemniscate du latin lemniscus issu du grec lênos (laine) et signifiant ruban attaché aux couronnes ou aux palmes des vainqueurs et des suppliants a été donné par D. Bernoulli 11 au XVIIIe siècle à une courbe géométrique en forme de 8 qui, couché, est devenu le symbole de l’infini, ∞. Cette boucle revient sur elle-même sans nœud à l’interconnexion en retournant sa ligne sur elle-même, liant le début et la fin tel un serpent qui se mordrait la queue. Il serait alors une figure d’un éternel retour ou celui de l’éphémère cycle de la vie et de la mort traçant un chemin entre l’apeiron, le non délimité, mauvais infini grec, et l’infini, un des attributs de Dieu ou la linéarité historico-théologique de la création au jugement dernier.
Marylou Clos, autrice d'un mémoire intitulé Accompagnement d'un troublee de l'articulation temporo-mandibulaire en naturopathie : à la recherche de l'équilibre (Ecole Euro-Nature, 2020) évoque une structure lemniscatoire inscrite dans le corps humain :
Structure quaternaire de l’être humain : Les traditions ésotériques de toutes obédiences se sont intéressées à la structure de l’intériorité humaine et à son fonctionnement. Elles ont admis la segmentation du corps, de l’esprit et de l’âme. Elles ont appréhendé la compréhension de l’intériorité grâce à la loi d’analogie, ce dont sur quoi se base le travail symbolique. Dans ces approches, l’intériorité, distinguée par des mots flous (réalité abstraite) est analogue à l’extériorité, c’est-à-dire le corps humain (réalité concrète).
Le schéma suivant propose une vision des quatre catégories psycho-spirituelles de l’intériorité (issus des travaux en symbolisme de Roland Fietta) selon une structure lemniscatoire du corps humain, associée à l’analogie avec ce dernier.
L’intériorité est structurée ici en quatre composants : l’Anima, l’Animus, le Spiritus et le Pôle des formes. L’analogie se construit avec le corps humain de la sorte : Anima/Ventre – Animus/Thorax – Spiritus/Visage – Pôle typal/Crâne.
Quatre grands passages sont répertoriés en lien avec les quatre éléments : le périnée (passage de la terre d’en bas à l’eau), le diaphragme (passage de l’eau au feu), le cou (passage du feu à l’air) et la tente du cervelet (passage de l’air à la terre d’en haut).
Ce jeu lemniscatoire du corps humain segmente plusieurs composantes : l’émotionnel et l’instinctuel c’est-à-dire l’émotion et la pulsion (Anima dont anima vital qui donne la vitalité, sans lui c’est la mort) ; le conceptuel, autrement dit la raison (Animus) ; le spirituel (Spiritus), garant de l’inspiration, le principiel (Pôle typal) qui représente l’idéation à travers le monde archétypal.
L’Animus est au cœur de ce lemniscate. C’est la raison qui va mettre de l’ordre dans l’information reçue du monde sensible (par intussusception, mais aussi dans l’information reçue du monde insensible par inspiration).
L’Anima est le carburant du corps et se fonde comme un principe "médiateur" entre l'esprit et le corps. Le corps permet d’accueillir la puissance vivante qui a pour fonction la vitalité, l’instinctivité, l’affectivité. L’Anima se relie à l’Animus qu’elle initie.
Les puissances vivante (Anima) et rationnelle (Animus) permettent la puissance inspiratrice (Spirituelle) qui reçoit les inspirations (Pôle typal, réalité abstraite) dans une fonction d’orientation, de signification, d’apprentissage.
La santé supposerait en ce sens une pleine existence : de vie, de raison, d’aspiration, de connaissance. La connaissance pourrait être considérée en quelque sorte comme la terre intérieure, bien arrosée par l’eau, bien chauffée par le soleil (feu), bien aérée par le labour (air). Toute entrave ou blocage dans l’exercice de vie dans une de ces quatre énergies affecterait l’homme dans sa globalité. La maladie émergerait lors de la rupture de ces alliances. Une terre trop ou pas assez irriguée, ensoleillée et aérée serait improductive.
*
*
Dans L'Oracle de la Géométrie sacrée - Le langage de la lumière (Éditions Grancher , 2024) Olivia Braqueville nous propose une carte sur le Nœud de l'infini ainsi que son interprétation de cette forme sacrée :
Le Nœud de l'infini : la Responsabilité
Valeur numérique : 8
Nombre pair associé à la Lune - Polarité féminine - Yin.
Le 8 est associé à la justice, au juste équilibre. Il représente aussi le pouvoir, la vérité et la spiritualité.
Correspondance avec le Tarot de Marseille : La Justice.
La Justice incarne non seulement la justice terrestre mais également la justice divine, celle qui se place au-dessus de celle des hommes. La carte est en lien avec cette justice-là à laquelle personne n'échappe et qui octroie la récolte de ce que l'on a semé en « bien » ou en « mal ».
Description de l'onde de forme : Le nœud de l'infini ou « nœud sans fin » est issu de la tradition bouddhiste. Il peut être associé à la lemniscate (le huit en position horizontale : ∞) qui évoque les cycles de l'éternel.
Dans le bouddhisme, le nœud sans fin représente la sagesse et la compassion infinies. Il représente le chemin infini que l'homme emprunte, de vie en vie, vers le dharma. Le dharma peut se résumer à l'alignement parfait à la Source. L'homme, par sa pensée juste, sa parole juste et son action juste rentre dans un cercle vertueux où il ne crée plus de karma envers lui-même et envers les autres. Il est totalement libéré de l'ego et de la manière. Le nœud infini symbolise donc aussi le karma et la loi de cause à effet, énoncée ainsi par Hermès : « Toute cause son effet, tout effet a sa cause. Rien n'échappe à la loi. Pas de hasard, pas de chance ».
La loi de cause à effet est un grand principe divin que l'on retrouve dans de nombreuses traditions. Nous sommes responsables de ce que nous semons et de ce que nous récoltons. Le nœud de l'infini symbolise donc la justice au-delà de la justice des hommes et de la matière. Rien de ce qui vient à nous n'est le fruit du hasard. Nous sommes responsables de notre réalité. Cela semble parfois difficile à entendre pour nous Occidentaux qui avons la fâcheuse habitude de nous dédouaner et de trouver un responsable à nos malheurs.
Le nœud sans fin évoque également notre âme, infinie et éternelle, notre compagne de vie en vie. Il fait référence aux cycles de la vie, à l'impermanence pour l'homme incarné - soumis à la naissance, à la vie et à la mort - et à la permanence pour l'âme, qui continue son chemin après la mort du corps physique.
Interprétation de la carte : Le Nœud de l'infini t'invite à prendre pleinement conscience des gaines que tu sèmes, de la qualité de l'eau qui te sert à les arroser et de la valeur de ce que tu récoltes. En d'autres termes, cette carte t'encourage à accepter la grande part de responsabilité que tu as dans ce que tu vis. Plus tes pensées, tes paroles et tes actes seront désalignés, plus le désordre et la dysharmonie règneront à l'intérieur de toi, mais également dans ton travail, ta famille et plus largement, dans tes relations aux autres.t plus tu continueras à créer du karma, individuellement et collectivement.
Le Nœud infini te montre que la justice divine finit toujours par triompher. Observer tes pensées, tes paroles et tes actes requiert du courage et de la discipline. Cela te demande aussi de ne pas te juger, et surtout de ne pas culpabiliser !
Il est toujours temps de changer ton regard. Ton âme sait parfaitement ce qui n'est pas aligné dans le moment présent. Alors, commence par changer tes pensées, élève leurs vibrations, cesse d'être dans le jugement en permanence. Qui es-tu pour juger, en fin de compte ? Commence par t'occuper de ce qui cloche chez toi plutôt que de t'intéresser à ce qui cloche chez l'autre. Accepte de te pardonner à toi-même comme tu pardonnes à l'autre. Pardonner, c'est donner sa propre paix afin d'être soi-même en paix. Donner et recevoir sans attendre sont autant de clés qui te mèneront sur la voie vertueuse du dharma.
Méditation Yantra Yoga : Installe-toi dans une position confortable et place la carte face à toi. Je t'invite à adopter une respiration naturelle. Je te propose d'inspirer la détente, le calme, la paix, et d'expirer toutes les tensions, toutes les préoccupations du moment. Considère cet instant comme un véritable moment de retour à toi. Une fois que tu te sens centré-e et détendu-e, pose ton regard au centre du Nœud de l'infini. Parcours du regard le chemin du nœud dans la direction souhaitée. Laisse-toi bercer par les lignes droites et les virages. Reviens au point de départ puis recommence plusieurs fois. Abandonne-toi au mouvement infini du nœud. Laisse venir à toi les sensations. Termine par trois profondes et longues respirations, et remercie le Nœud de l'infini.
Mantra : Je suis la cause, je suis l'effet. Tout effet a sa cause et toute cause a son effet. Je surveille mes pensées, mes paroles et mes actions. Par la pensée juste, la parole juste et l'action juste, je ne crée aucun tort, ni à moi-même ni aux autres. Par la persévérance et la patience, j'entre dans le cercle vertueux de la sagesse, de la compassion et de l'équilibre. Je retrouve ma place.
*
*